AFRIQUE DU SUD (ETE 2015)

Louanges à Allah et prière et salut sur son Prophète.

Cette campagne a été un rêve devenu réalité et une nouvelle page dans l’histoire de la roqya. Quand je suis venu pour la première fois entre décembre 2013 et janvier 2014, il n’y avait qu’une poignée de personnes qui avaient appris et pratiquaient ma méthode à partir de mon site web et des échanges avec moi. De nombreuses personnes ont été formées et des centres ont ouverts à Johannesburg, Durban et Newcastle. Mes autres raqis sont venus de France et ont organisé 3 fois des campagnes pour poursuivre les formations et les ouvertures de centres. Mais cette fois les choses étaient différentes: j’avais 10 raqis nationaux qui m’attendaient pour démarrer la campagne avec 5 capteurs et l’expérience dans l’organisation des campagnes. La première des choses qui m’a agréablement surprise c’est les réactions positives des oulémas. Quand nous avons commencé au Cap, nous avions des interventions tous les jours dans des mosquées et des conférences dans les madrasas, les étudiants et leurs professeurs avaient tant soif d’en apprendre sur la roqya. Nous avons également organisé deux séminaires pour les oulémas au Conseil Général Islamique, l’organe en charge des Affaires Musulmanes au Cap. Beaucoup d’oulémas ont été formés à la roqya et ont commencé à exercer. Beaucoup d’autres sont venus pour se traiter ou traiter leurs familles. Regardez comment les imams à Bruxelles, en Belgique, ont répondu à mes interventions dans le rapport de la campagne précédente et vous verrez la différence. L’acceptation et le soutien de la roqya par les oulémas est une ouverture pour la oumma, et tous ces élèves sont une nouvelle génération de oulémas déjà prêts à être raqis car nous avons pu montrer le captage à chaque fois, et ainsi après avoir donné toutes les explications, quand nous ramenons les djinns et que je leur demande ce qu’ils font, cela montre la véracité de mes propos.

Je dois ajouter que nous n’avons trouvé d’opposition nulle part. Nous sommes allés visiter les ulémas connus pour leurs positions strictes et ils furent heureux de trouver une solution du Coran et de la Sunna pour les souffrances de la oumma. J’ai pu expliquer clairement que ce sont les noms des djinns utilisés dans les tawiz (gris-gris indiens) et que les grilles numériques sont des codes de djinns et n’ont rien d’islamique de Coran ou de noms d’Allah, et tout le monde a trouvé cela très clair. A un moment, une information est sortie que j’étais salafiste mais ce n’est pas arrive très loin. Dans la première campagne peu de mosquées ont accepté de placer nos affiches mais cette fois très peu ont refusé. Je me sentais comme si un prophète vint chez son peuple et tout le monde est venu célébrer sa venue : « Un prophète est venu ! Nous sommes sauvés ! »

Nous étions tous touchés quand nous avions des ulémas, muftis, responsables du Tabligh et des vieux professeurs qui suivaient nos cours, nous posaient des questions et apprenaient de nous. A Newcastle, plusieurs professeurs de l’université islamique suivirent la formation: un mufti, haut responsable du Tabligh, fut enchanté par la voie spirituelle; un vieux professeur qui a formé des savants toute sa vie suivait la formation et prenait bonne note de tous les cours; un savant venu d’Inde qui faisait des tawiz a beaucoup insisté pour que je lui donne des djinns pour travailler avec et finalement délaissa tout ce qu’il faisait.

Le frère Azedine forma un professeur au Cap et il devint capteur puis il fit le captage devant ses élèves coraniques! La dernière et plus belle rencontre avec les savants fut à l’institut Zakariya à Johannesburg. C’est l’école la plus forte en Afrique du Sud, connue pour le haut niveau de l’enseignement et des professeurs. Quand nous avons exposé la ruqya au directeur et nous attendions sa réponse, au moment où nous tournons un peu la tête pour recevoir la claque classique: « Tout ça est n’importe quoi, bidaa, etc. » Mais il dit : « Je veux que ceci soit enseigné à mes professeurs et mes étudiants! » Allahou Akbar! Nous arrangeâmes tout de suite une conférence le matin de mon départ et nous fîmes un programme avec le centre de ruqya pour les former.

Le deuxième grand point fut la communauté Zoulou. C’est la plus grande ethnie en Afrique de Sud, leur religion vénère et invoque les ancêtres, mais nous savons que ce sont des djinns, et ils sont souvent noyés dans les problèmes de djinns et de sorcellerie. Nous eûmes un premier plongeon dans le monde mystique des zoulous avec le marché des sorciers à Durban: plus de 60 boutiques qui vendent les fournitures des sorciers: plantes variées, poudres et parties d’animaux tels serpents, singes etc. Tous les vendeurs sont des sorciers et s’appellent docteurs. Ce fut une occasion fantastique pour nous et nous envoyâmes chaque jour un nouveau capteur pour enlever tous les djinns du marché, des vendeurs et de leurs clients. Nous avons aussi essayé de rencontrer le roi des zoulous, mais il n’était pas comme les autres rois traditionnels dans les pays africains, il était très difficile à rencontrer comme une personnalité politique.

C’est dans les captages de nuit que nous vîmes combien la communauté zouloue était facile. Quand nous allions voir les prostituées, dès que nous disons que nous sommes venus prier pour elles, elles étaient contentes et appelaient leurs camarades. Donc nous faisons le captage et cela montrait qu’elles avaient des dizaines de sorcelleries qui les avaient réduites à cette condition, ensuite plus de djinns et de sorcelleries se rajoutent et les maintiennent dans cet état. Après les explications, nous leur offrons le traitement gratuit et certaines sont venues se soigner. Où que soient assis les zoulous, dès que nous disons que nous venons prier pour eux, ils laissent ce qu’ils font et participent à la prière. L’expérience la plus surprenante fut un groupe de religieuses qui étaient dans une tente pour un weekend à chanter, danser et jouer des instruments 24h/24. Nous partîmes les visiter et une femme vint à notre rencontre et demanda ce que nous voulions. Nous dîmes que nous sommes venus nous joindre à leur prière et elles arrêtèrent tout et nous demandèrent de prier pour elles. Je fus tellement surpris que je n’ai pas fait le captage mais juste des douaa pour qu’Allah les guide, puis nous sommes partis et nous fîmes le captage entre nous.

Nous avions tellement de souci pour cette population zoulou qu’Allah le Très Haut réalisa nos intentions. Il y avait une école islamique pour zoulous dans une petite ville nommée Escort. Ma cha Allah nos frères indiens payent tous les frais de cette école qui reçoit des zoulous convertis, garçons et filles séparément, leur enseigne l’Islam et après les études les emploie à faire la daâwa à leurs communautés zoulous et les aide à ouvrir des écoles islamiques dans les zones zoulous. Quel programme magnifique ma cha Allah! Tout cela financé par une famille qui possède quelques supermarchés. Mais plusieurs filles étaient possédées et ça devenait un obstacle pour l’école et tout le projet; à la fin les filles nous avouèrent qu’elles étaient sur le point de laisser l’école et revenir dans leurs communautés et chercher l’aide des sorciers, tellement elles étaient désespérées. Donc les savants responsables de l’école nous amenèrent les filles à Durban pour les traiter. Ils nous expliquèrent la situation et j’ai dit qu’il ne suffirait pas qu’elles viennent pour un traitement et rentrent; il faut qu’on aille là-bas faire une campagne dans leur ville et aller dans leur école pour finir complètement le problème. Ils étaient très satisfaits de cette solution et la campagne fut un succès. Ceci nous montra aussi que de bonnes campagnes pouvaient être organisées dans de petites villes. Les musulmans indiens avaient ouvert une clinique pour aider les communautés locales médicalement mais était assez grande pour héberger la campagne de ruqya. Le premier jour à 8h.00 j’étais devant 30 élèves, hommes et femmes, et nous parcourûmes toute la formation pratique et théorique dans ces 4 jours. Nous avons capté pour les filles dans le centre de ruqya et la nuit dans leur école et les djinns zoulous ne cessèrent de venir et de déclarer qu’ils ne permettraient pas que les filles se convertissent et laissent leurs traditions ancestrales jusqu’à ce qu’ils n’y eut plus de djinns qui viennent et les filles devinrent capteuses et pilotes et les mawlanas apprirent tout de la ruqya. Une des filles avait un pied tordu et ne voyait plus depuis des mois sans aucune explication médicale. Un œil s’ouvrit puis l’autre et au troisième jour après d’intenses captages nous entendirent des takbirs quand elle jeta ses béquilles et se mit à courir dans le centre; ce fut une explosion de joie car c’était la victoire de la foi contre le chirk. J’ai laissé une partie de mon groupe avec eux pour quelques jours pour compléter leur formation et ils eurent deux patients zoulous paralysés l’un à la jambe et l’autre au bras et les deux guérirent avant de quitter le centre ; alors de plus en plus de patients venaient et disaient : nous avons entendu qu’il y avait des miracles ici ! Oui, c’est un de nos objectifs que j’explique depuis des années: la roqya est un moyen de daâwa pour les non musulmans. Maintenant cette clinique a aussi un centre de roqya avec du personnel local.

Un autre nouvel aspect est le travail sur les drogués. Nous avons des fois des patients dépendants des drogues et le plus souvent la sorcellerie les y a amenés ; même s’il n’y a pas de sorcellerie il y a toujours des djinns car dès que quelqu’un commet des péchés, les djinns viennent participer puis ça devient une dépendance au point que la personne perd le contrôle de sa vie. Mais en Afrique du Sud la drogue est un grand problème et plusieurs centres de réhabilitation sont gérés par des musulmans. Nous avons réussi dans les tous derniers jours à visiter un centre près de Johannesburg. Les patients y vont pour 6 semaines et suivent un programme quotidien de 5 prières, dhikr, Coran, psychologues, sport ; ils ont une piscine, le ping-pong, une mosquée, un imam permanent et 3 psychologues. Le centre est dans une ferme dans la campagne avec nulle part où s’enfuir ou aller s’amuser. Pourtant le taux de réussite est de 7%! Nous expliquâmes notre objectif au directeur et il réunit les 41 patients dans la mosquée. Je leur ai expliqué la roqya et nous fîmes le captage et parmi eux 32 avaient de la sorcellerie qui causaient leur dépendance et tous les autres avaient des djinns qui empiraient leur situation. Nous avons aussi trouvé de la sorcellerie faite aux musulmans en général pour les détruire par la drogue. Puis le directeur nous dit qu’il voulait implanter la roqya dans leur programme, pas juste de visites ou des traitements, donc chaque patient du centre sera traité par la roqya tout comme il doit faire les autres activités, et c’est exactement ce que nous voulions. J’ai quitté l’Afrique du Sud avant que ce ne soit mis en place, mais la procédure continue par la grâce d’Allah. Par la grâce d’Allah, quand les nouvelles statistiques sortiront ce sera une grande nouvelle car plusieurs autres centres sont tenus par des musulmans et ont des liens avec des centres à travers la planète.

Une autre réalisation dans cette campagne sud-africaine est le partenariat avec les médecins. Nous avons commencé à travailler avec une organisation de médecins qui font du social, mais ça n’a pas encore atteint le partenariat. Nous eûmes une réponse plus prompte d’une organisation de docteurs qui mène des recherches et pratique les méthodes alternatives et naturelles. Nous eûmes une petite réunion avec eux et surtout le directeur qui avait une grande clinique de thérapies naturelles et ils furent impressionnés de la simplicité et de la clarté de l’exposé sur les djinns et la sorcellerie et nous demandèrent d’ouvrir une unité de roqya dans leur clinique. Alhamdou lillah, là aussi le processus continue.

Une autre percée dans la roqya dans cette campagne est notre collaboration avec la Fondation Nationale pour la Zakat et ma cha Allah en Afrique du Sud c’est une immense organisation. La fondation finance des projets pour les personnes dans le besoin et leur donne une formation sur la gestion de projets. Nous rencontrâmes le responsable de la formation et lui expliquâmes que beaucoup de gens viennent vers eux à cause de la sorcellerie qui leur fait échouer tout ce qu’ils font, alors nous proposons d’ajouter une explication sur la sorcellerie et la ruqya à la formation. Sa réponse fut : « Vous pouvez commencer quand ? Nous avons un formateur absent cet après-midi, pouvez-vous prendre son créneau ? » Nous commençâmes donc l’après-midi même et les 20 personnes qui suivaient la formation avaient toutes la sorcellerie et tentaient des solutions diverses tawiz et autres, donc elles acceptèrent toutes de venir pour la roqya.

Donc tout ceci est mes rêves qui se réalisent, et nous avons réalisé en Afrique du Sud dans cette seconde campagne ce que nous n’avons pas réalisé dans aucun pays au monde. Nous avons aussi eu une grande leçon sur l’unité : les cœurs doivent être unis et Allah nous aidera et bénira nos efforts. Mais il me reste des rêves qui n’ont pas pu être faits : travailler sur les criminels à travers les aumôniers des prisons car la majorité d’entre eux a la sorcellerie et des djinns qui les rendent criminels. Un autre programme pour lequel je pousse est d’aller dans tous les médias, et en Afrique du Sud il y a de très nombreux journaux et magazines islamiques et il est très facile de leur donner des articles sur la ruqya. Nous avons fait un programme bien à l’avance pour imprimer le livre de ruqya, mais ça n’a pas pu se faire. On voulait aussi imprimer les posters et travailler sur les vidéos et les tafsirs.

Un autre résultat dans la roqya est l’ouverture de nouvelles zones : nous avons fait campagne dans de nouvelles villes : Port Elisabeth, Escort et Newcastle, et toutes valaient le coup et nécessitaient plus de temps. Nous avons aussi commencé de nouveaux pays : Lesotho, Mozambique et Zimbabwe, et j’ai découvert que tous ces pays ont les mêmes structures islamique qu’en Afrique du Sud avec les communautés indiennes. Lesotho est très petit et nous n’y passâmes que 3 jours donc nous ne pûmes former des gens et ouvrir un centre, mais la campagne au Mozambique était grandiose et beaucoup de gens apprirent et commencèrent à pratiquer. On n’avait presque aucun contact donc on envoya Mohamed et Yousouf établir des contacts et trouver un local et des moyens de communication. Alhamdou lillah ils souffrirent jusqu’à atteindre leurs limites et Allah nous donna tout, et après la capitale Maputo nous continuâmes la campagne à Beira. Le Mozambique est un pays assez pauvre qui a souffert d’une longue guerre civile après l’indépendance, donc on sent qu’il a 30 années de retard sur ses voisins. Au Zimbabwe, la campagne fut grandiose bien que courte. Nous étions dans des conditions merveilleuses, dans une résidence pour les visiteurs musulmans, qu’Allah bénisse et couvre de Sa miséricorde tous ceux qui nous ont soutenus. Nous avions une classe d’élèves et particulièrement une famille dont le père devint capteur et les garçons et filles des raqis. Chaque fois que je m’informais sur le Zimbabwe avant d’y aller, on me disait : « Depuis que le président Mugabe a arraché les terres des blancs, le pays s’est effondré et ne produit plus rien au point qu’ils ont perdu leur monnaie et utilisent les dollars américains. Pendant mon séjour, l’info est sortie dans le journal que le président a décidé de restituer les terres aux blancs et a demandé aux gouverneurs d’établir une liste de fermiers blancs pour gérer les fermes économiquement stratégiques. Allahou akbar ! En captant nous eûmes la confirmation que pour avoir converti tellement de djinns et détruit tellement de sorcelleries, et parce que les noirs avaient fait les sorcelleries pour dominer les blancs, tout cela maintenait cette situation aberrante, et maintenant le pays en était libéré.

Donc maintenant j’ai compris que tous ces pays : Zambie, Botswana, Malawi, Swaziland, Kenya et Tanzanie avaient une structure islamique similaire à l’Afrique du sud et nous préparons toutes ces campagnes in cha Allah.

Nous avons visité une école islamique pour aveugles en Afrique du Sud à Petermarysburg qui en fait des Hafiz et des savants. Bien sûr c’est très touchant de voir ces jeunes aveugles si investis dans l’Islam alors que nous avec l’immense bienfait de la vue nous sommes tellement négligents. Mais je fus fasciné par l’implication des enseignants et de l’équipe encadrante et les développements qu’ils ont apportés. D’abord tout cela est financé par des donateurs qui veulent aider l’Islam. Deuxièmement, ils ont amené les étudiants de plusieurs pays différents et en demandent encore. Troisièmement ils ont développé plusieurs techniques pour les aider à apprendre : ils ont un studio pour enregistrer les livres vocalement pour que les élèves puissent les écouter. Ils avaient l’habitude d’envoyer les CDs aux autres écoles pour aveugle dans divers pays mais maintenant ils mettent les enregistrements sur internet. Ils ont écrit tous les livres du cursus en Braille et ils ont une salle d’impression spéciale pour produire les livres en Braille et les envoient à leur réseau d’écoles pour aveugles. Les étudiants ont aussi des ordinateurs pour apprendre et c’est leur outil préféré car c’est rapide et interactif. En quittant cette école je voyais comment les sud-africains pouvaient développer la roqya.

Je ne peux pas manquer de mentionner la merveilleuse nature que nous avons vue en Afrique du sud : montagne Table au Cap, Safari à Port Elisabeth chez un frère qui a acheté 600 km² de terres et les a remplis de plusieurs variétés de ruminants ainsi qu’une famille de lions qui se sert dans ces troupeaux. Nous nous sommes arrêtés à 3 m du lion à droite et sa famille à gauche dans une jeep ouverte, sans fenêtres et avec une toile pour toit, donc ils pouvaient juste nous sauter dessus, c’était vraiment impressionnant. J’étais tellement étonné de la tendresse de la viande en Afrique du Sud et un médecin tunisien qui nous invités à une rupture pendant le ramadan m’a dit qu’il a acheté un agneau de 6 mois pesant 70 kg ! Ce fut aussi la première fois de ma vie de rouler à 230 km/h.

Qu’y a-t-il de nouveau dans la roqya ? D’abord les versets supplémentaires que nous donnons aux patients à lire dans l’eau, je veux que ce soit compris et appliqué par tous les raqis alors lisez attentivement la notice jointe. Deuxièmement, dans les trois étapes de la roqya, dans l’expansion, nous avons ajouté une cinquième rubrique après l’expansion géographique, par les médias, la collaboration avec les corps médical et religieux, qui est le travail social : travailler sur les drogués, criminels et prostituées. Nous avons de nouveaux versets dans le captage comme vous pouvez les voir dans les nouvelles vidéos de captage, et je m’efforce de les mettre dans un fichier.

Voici un article qui explique que des médecins en Malaysie veulent apprendre plus sur le monde des djinns et de la sorcellerie :

http://m.themalaymailonline.com/malaysia/article/at-ukm-forum-muslim-doctors-to-learn-of-djinns-black-magic-in-modern-medici

Ouverture d'un site par un de nos élèves à Lahore :

http://ruqyahlahore.weebly.com/treat-yourself.html

Voici une vidéo qui combine la psychothérapie et le captage en même temps :

https://www.youtube.com/watch?v=dbrL7qkWZxI

et une émission en turquie qui parle du captage :

http://www.youtube.com/watch?v=3ZklnfMWUYk

Voici également une vidéo d'une méthode thérapeutique "EMDR – IMO. (Intégration par les Mouvements Oculaires)" qui nous a été suggérée par une soeur :

https://www.youtube.com/watch?v=d4lOSDle8dE

et des vidéos de roqya proposées par un frère :

https://www.youtube.com/watch?v=3aohMNSqILs&index=69&list=PLngYJnEm6smmlFTY_HrxqRKZRFPXjNSLs

https://www.youtube.com/watch?v=3aohMNSqILs&index=69&list=PLngYJnEm6smmlFTY_HrxqRKZRFPXjNSLs

Qu’Allah nous accepte et nous utilise pour le bien de l’Islam et des musulmans.